délirsSur les lancinantes vallées de mon âme,un

délirs

Sur les lancinantes vallées de mon âme,
un prisme appauvri par les douceurs hivernales,
Phoebus ou Icare , contemplent étrangement les contrées océanes,
les pierres des femmes font d'étranges maisons, d'étrange soupirail,
où mon âme entière floraison est prête à s'exalter.

Les masques florentins, dont la quiétude résonne,
font d'obscurs desseins qui me mènent jusqu'à l'homme,
sur ma redingote de pluie les charmes olympiens,
et le sinistre chemin des destins sans apôtres.

Ô que je t'aime lumineuse obscurité,
et tes seins que j'adore,
qui me font de doux coussins de fleurs,
 où j'aime me reposer.